Le 28 mai, le réseau principal Terra 2.0 a été lancé, qui a reçu l’identifiant Phoenix-1. Les participants du largage aérien de LUNA ont reçu les jetons promis.
L’échange Bybit a été l’un des premiers à répertorier l’actif du projet mis à jour. Le prix de ce dernier a d’abord grimpé de 0,5 $ à 30 $, puis a chuté de manière significative.
LUNA est également apparue sur d’autres bourses, notamment Huobi, Bitfinex, Bitrue, Gate.io, qui ont déjà signalé leur soutien au jeton “renaître de ses cendres”.
Binance, la plus grande plateforme en termes de volume de transactions, commencera à négocier l’actif le 31 mai à 09h00.
Au moment d’écrire ces lignes, LUNA se négocie autour de 5,8 $, selon CoinGecko.
Notamment, les jetons LUNA acquis sont automatiquement jalonnés. Les utilisateurs peuvent choisir un validateur par redélégation ou par délégation. Dans ce dernier cas, vous devrez attendre 21 jours.
Ce n’est qu’à la veille du lancement que les développeurs ont précisé que le «plan de relance» du projet ne consistait pas à bifurquer le réseau existant, mais à en créer un nouveau. De plus, le moment de la sortie de Terra 2.0 a dû être légèrement décalé.
Le 26 mai, la communauté Terra Classic a approuvé une proposition visant à graver TerraUSD (UST) dans le pool communautaire, ainsi que des stablecoins émis dans le cadre de la dernière étape de stimulation de la liquidité sur la blockchain Ethereum.
Peu de temps avant le lancement de Terra 2.0, un analyste de FatManTerra soupçonnait le PDG de Terraform Labs, Do Kwon, de tricher sur le protocole Mirror.